Calvin Russel

Méconnu en France, Jack La Botz ne l'est pas en Hollande ou en Belgique.Nous avons profité d'un passage éclair chez nous, de l'autre côté de la frontière pour le rencontrer. Personnage plein de contraste, un look rockeur couvert de tatouage qui cache un gentleman très attachant, une voix douce lorsqu'il vous parle, rocailleuse lorsqu'il chante, des textes noirs parlant d'enfer, de mort, alors qu'il vénère le bouddhisme. Quelqu'un à découvrir!

Le texan, qui porte sur sa tronche toutes les routes empruntées durant des décennies, sort son nouvel opus au titre révélateur, Dawg Eat Dawg et dont le premier titre, Like a revolution, annonce la couleur. Calvin est de retour, avec un CD explosif qui rappelle le Calvin des deux premiers albums. Coproduit par Manu Lanvin et Nikko, ce disque réserve de belles surprises comme cette double version d'une chanson chantée en anglais et en français et dont le chanteur de la version française n'est autrenque l'acteur Gérard Lanvin.

C'est au début de l'automne dernier, peu de temps après la sortie de son dernier et superbe album, Witness to the Blues, que nous avons rencontré Joe Louis Walker, à Paris, dans un petit hôtel peu éloigné du parc monceau. Les élections présidentielles américaines n'avaient pas encore eu lieu...

Depuis dix ans déjà, les amateurs de Blues-Rock prennent leur pied dans ce club privé, situé dans le petit village de Riotord, en Haute-Loire.

Cela faisait longtemps qu'on n'avait plus entendu parler d'Eric Bell, le fondateur de Thin Lizzy. Tout au plus l'avait-on aperçu en 2006 sur le DVD de Gary Moore. Il faut dire que du haut de ses 61 ans, le bonhomme a connu des hauts et beaucoup de bas, la faute a quelques addictions qui ont d'ailleurs été fatales à son ancien collègue Phill Lynott. Néanmoins, en pleine vague de rééditions de son back catalogue chez Angel Air, Eric Bell revient sur le devant de lascène avec un nouveau power trio blues rock.

Nous avons rencontré dans le cadre d'une tournée qu'elle effectue en Europe, la diva du blues plutôt rock, la pétillante Candie Kane, qui nous a reçus avec gentillesse et sincérité.

Avec un second CD au titre qui ne laisse aucun doute sur la manière dont Demi Ewans ressent la portée de l'élection du premier président noir américain, My America, la chanteuse fait passer non seulement quelques idées qui lui tiennent à cœur, mais aussi un énorme frisson au travers de 12 chansons (dont une seule reprise), qui nous font savoir ce qu'il faut comprendre, ressentir, au-delà de la musique.

Un duo attachant - Manu Slide (Emmanuel Poliautre) et Papy Washboard (Albert Debaecke) - qui fait du rustique de façon électrifiée, en respectant l'âùe du blues. A découvrir, vous n'en ressortirez pas indemne!

Antoine Holler, ce jeune et talentueux guitariste, chanteur, compositeur a déjà un joli parcours derrière lui. Vainqueur du dernier tremplin blues sur Seine 2008, il vient de sortir son premier disque sous son propre nom, Love in Stereo. L'occasion était trop belle ppur aller lui poser quelques questions.

C’est par le biais du Jazz que l’orgue a fait ses premières armes auprès du grand public. Nous suggérerons donc quelques artistes pour mémoire, mais l’objectif n’est pas la rédaction d’un nouvel annuaire téléphonique. Milt Buckner avec Green Onions, Wild Bill Davis avec Johnny Hodges & Wild Bill Davis, Joe’s Blues, Fats Waller avec The Chronogical Fats Waller, comptent parmi les précurseurs, mais c’est sans nul doute l’arrivée de Jimmy Smith qui a bouleversé la donne. Il sera d’ailleurs le porte-drapeau de la marque pendant de nombreuses années, avec près d’une centaine d’albums à son actif.

C’est une des grandes dames de l'histoire du Blues et du Chicago Blues, Cora Walton, plus connue sous le nom de Koko Taylor, qui vient de nous quitter. Elle était aussi surnommée Cocoa, parce qu'elle adorait le chocolat.