L’inde : à l’assaut du XXIème siècle

Claude Rutault : “Pour sortir du XXe siècle ”

par Philippe Piguet

Une épaisse chemise de coton à carreaux comme un damier, le cheveu court, la barbe dense, assis à son bureau devant une fenêtre qui donne sur des arbres, il tape à la machine.

Xavier Barral - Le porteur de rêves

par Christine Coste

L’affection qu’il porte aux livres remonte à l’adolescence, aux ouvrages hérités de son grand-père paternel et « aimés de manière instinctive non par la lecture à laquelle ils ouvraient, mais par leur beauté ».

Ces “privés ” qui ouvrent au public

par Roxana Azimi

De nombreux espaces privés ouverts par des collectionneurs offrent, partout dans le monde, une alternative au secteur public. Une tendance qui ne faiblit pas.

L’Inde transfigurée

par Christine Ithurbide

Une expo au Mac de Lyon, l’autre à Beaubourg, un pavillon à la Biennale de Venise, Monumenta confié à Kapoor… L’Inde a bel et bien basculé dans l’ère contemporaine, tant sur le plan économique qu’artistique. Mais qui est donc cet acteur avec lequel il faut désormais compter ?

Ceux par qui l’Inde est entrée dans l’art du XXe siècle

par Christiane d'Adhémar de Lantagnac

L’art contemporain indien ne commence pas avec Anish Kapoor ou les Gupta (Subodh et Shilpa). Dès l’indépendance, un renouvellement des arts visuels s’instaure avec le Progressive Artists’ Group.

The Devi Art Foundation à Delhi

par Bénédicte Ramade

Inaugurée en 2008, cette fondation à but non lucratif est issue de la passion du trentenaire Anupam Poddar et de sa mère Lekha, à la tête d’une immense fortune née de l’industrie papetière avant de se diversifier dans l’hôtellerie.

L’Inde entre à la Biennale de Venise

par Bénédicte Ramade

Pour la première fois cette année, l’Inde concourt officiellement à la Biennale de Venise avec son propre pavillon.

Anish Kapoor voit Monumenta en grand

par Bénédicte Ramade

Le secret est jalousement gardé. Avant le dévoilement de la proposition d’Anish Kapoor sous les verrières du Grand Palais pour son Monumenta 2011 [jusqu’au 23 juin], on ne saura rien ou si peu.

La méthode Gino Severini

par Colin Lemoine

C’est avec méthode, une très grande méthode, que l’artiste italien a traversé le XXe siècle, du divisionnisme à l’art sacré en passant par le futurisme et le cubisme. Une trajectoire féconde, une sinusoïde exemplaire.

José de Ribera - Le meilleur du “meilleur ”

par Lina Mistretta

Les collections du Musée du Prado (Madrid) recèlent quelque cinquante œuvres majeures du peintre baroque espagnol José de Ribera (1591-1652), dit « il Spagnoletto », mais toutes sont postérieures à 1626, date à laquelle il commence à signer ses œuvres.