Numéro 146

La chronique de Michel Amelin - Fiction ou non-fiction, telle est la question

par Michel Amelin

Pour son boulot, le scénariste THIERRY BOURCY avait accumulé une énorme documentation sur la Première Guerre Mondiale. Il a eu l’idée géniale d’en faire une série policière disponible en Folio Policier. Paradoxe : son héros, Célestin Louise, simple poilu, inspecteur dans le civil, est confronté à des mystères criminels alors que les cadavres « légaux » de la guerre s’entassent autour de lui.

La chronique de Claude Mesplède - D’hier et aujourd’hui : revues policières

par Claude Mesplède

Dans mes précédents articles, j’ai pris beaucoup de plaisir à vous faire découvrir quelques réalités du monde des polardeux, un monde qui est aussi le mien. J’ai envie de continuer. Prenons par exemple les revues policières. Ceux qui comme moi ont dépassé la soixantaine, se souviennent certainement de « Ellery Queen Mystère Magazine (1948-1976) » « Hitchcock Magazine (1961-1975 ») et « Le Saint Magazine (1955-1967) ».

Le choix de Christophe Dupuis

par Christophe Dupuis

Le Credo de la violence de Boston Teran. Le Masque (trad. F. Reichert), 2010. Amérique, début du siècle dernier : “On était en 1910 et le chaos régnait tout au long de la frontière du Texas“.

Polars de l’année

par Jean-Marc Laherrère

L’été est la saison calme, pour le polar aussi. L’occasion de revenir sur des romans qu’on a laissé passer durant l’année. Le premier Orphelins de sang (Seuil - 2010), du journaliste, photographe et romancier Patrick Bard commence à Guatemala City, en 2007.

Quand le polar flirte avec le fantastique…

par Jean-Hugues Villacampa

“Usurpé ” de Laurent Terry. Collection Nuit blanche. Éditions Plon

par Paul Maugendre

Dès les premières pages, le lecteur se trouve enfermé dans un univers de suspense, un peu à la façon dont construisait ses romans Cornel Woolrich, plus connu en France sous le nom de William Irish.

Cadres Noirs de Pierre Lemaître

par Gérard Bourgerie

Quatre ans de chômage, c’est dur à vivre pour un ancien cadre d’une grande entreprise. Alain Delambre survit grâce à un petit boulot mal payé. Ce matin de mai 2009 la coupe est pleine; son chef, de mauvais poil lui a botté le cul et a reçu un coup de boule dans le nez en retour.