Françoise Lison-Leroy

De nuit

par Françoise Lison-Leroy

Le vent nous coiffait le pelage on entendait penser les crânes très loin des os c’était bien avant le désastre

Pas une vie

par Françoise Lison-Leroy

On n’aurait jamais dû casser l’alphabet. On aurait dû faire attention. Il faut toujours penser à ceux qui suivent. On leur laisse un monde sans lettres, sans mots, sans pages.

Questions - réponses entre Véronique Daine et Françoise Lison-Leroy

par Véronique Daine, Françoise Lison-Leroy

Clin d’oeil à Françoise Lison-Leroy

par Colette Nys-Mazure

Cela fait belle lurette que cette luronne arpente les terres poétiques avec son regard affûté, sa démarche garçonnière, son allant et la main toujours tendue.

En lisant Françoise Lison-Leroy

par Paul Mathieu

Difficile en quelques lignes de défricher une œuvre aussi dense et variée que celle de Françoise Lison-Leroy : recueils de poèmes, bien sûr, mais aussi nouvelles, théâtre, ouvrages à quatre mains... Par où l’attraper ?

Une lecture de “Lettre barrée” de Françoise Lison-Leroy

par Véronique Daine

Pour ceux qui croiraient encore que la poésie de Françoise Lison-Leroy est une poésie gentillette et d’enfant sage, le ton est donné dès l’ouverture : peur peur peur // il faut me mettre en berne / border ma détresse à grands bras.

Petites notes au bord des mots

par Philippe Mathy

Le poème, un silence en nous qui grandit, pèse parfois jusqu’à la douleur, cherche des mots, non d’abord pour trouver une expression, mais pour se déployer, s’alléger au dehors, dans un espace qui s’ouvre et ne se referme pas.

Pour une syntaxe du désir chez Bernard Noël

par Jalel El Gharbi

«Tout commence / par une fin / mince / limite / ô si fine si ténue si légère si étroite si / menue si cachée si interne si dérobée si / scellée »1 écrit Bernard Noël.

Jean Rouaud - “La femme promise”

par Georges Jacquemin

Lorsqu’il obtient, en 1990, le prix Goncourt pour son premier roman Les champs d’honneur, Jean Rouaud crée une véritable sensation. D’abord, c’est un premier roman, et il est rare que les jurés de ce prix prestigieux couronnent un premier essai.

A la rencontre d’Albert Strickler

par Nathalie Doyen

La poésie a le vent en poupe, profitons-en. Après le « revival » de Keats (grâce au film Bright Star) dont les odes ont été traduites par Alain Suied, la remise au goût du jour de Flannery O’Connor et Emily Dickinson, accueillons le printemps avec Albert Strickler, le chantre du « Rien somptueux ».

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