Jacques Torres, the french Wily Wonka

La malle à pique-nique Goyard

par Guénola Pell · trad: Farah Nayeri

Pour s'abandonner à la décontraction d'un déjeuner chic sur l'herbe sans renoncer à son standing, rien de tel que la malle à pique-nique traditionnelle en osier du confidentiel malletier parisien: Goyard. Sa structure de bois marouflé de goyardine et encasé d'osier, son couvercle doublé de cuir naturel, ses deux plateaux et ses sangles de fermeture de cuir sont conçus sur mesure depuis 1853 dans les ateliers de la Maison.

Le chocolat show de Jacques Torres

par Clément Thiery · visuels: John Kernick · trad: Alexander Uff

Un accent qui chante, quelques plaisanteries bien senties, et une liste sans fin de recettes faciles à faire chez soi. Depuis seize ans, Jacques Torres initie les Américains au chocolat de qualité et défend, au pays du Bic Mac, un savoir-faire d’excellence : produits naturels, sans additifs ni conservateurs, et teneur en cacao de 60% minimum.

Parsons Paris, la mode en héritage

par Hadrien Gonzales · trad: Alexander Uff

Réputée pour avoir formé les plus grands créateurs de mode américains, de Marc Jacobs à Alexander Wang, cette école de design a ouvert un campus à Paris en 2013 au 45 de la rue Saint-Roch, dans le 1er arrondissement, à proximité du Louvre et du Musée des Arts Décoratifs. Le lieu renouait ainsi avec une histoire débutée il y a plus de 90 ans.

Les noces du sacré et du contemporain

par Clément Thiery · visuels: Jean-Michel Othoniel, Paul Mathieu, Zao Wou-Ki · trad: Alexander Uff

Depuis les années 1960, l’Église de France fait de plus en plus souvent appel à des artistes contemporains, croyants ou non, français ou non, dans le cadre de travaux de rénovation ou de commandes publiques. L’occasion pour l’Église de présenter un visage moderne et éclairé, et pour les artistes, de se mesurer à un espace riche de symboles et d’histoire.

Edison versus Lumière

par Anne Prah-Perrochon · trad: Alexander Uff

En 1891, l'Américain Thomas Edison, pionnier de l’électricité, invente un dispositif cinématographique permettant de visualiser un film : le Kinétoscope. Peu pratique, le système imposait au spectateur de le regarder seul, debout, les yeux collés à une grosse boîte. Quatre ans plus tard, deux frères français – Auguste et Louis Lumière – créent un appareil permettant à la fois de capturer les images et de les projeter sur grand écran. Les deux frères brevetèrent leur invention en mars 1895 et l'appelèrent le Cinématographe (du grec Kinéma : mouvement et Graphein : écrire). Peut-on pour autant attribuer la paternité du cinéma à la France ?

En mémoire de l’escadrille Lafayette

par Roland Flamini · trad: Samuel Todd

Ce n’est un secret pour personne, les relations francoaméricaines connaissent des hauts et des bas. Un moment fort dans les liens historiques entre les deux pays fut le déploiement de l’escadrille Lafayette entièrement composée de pilotes américains, qui se portèrent volontaires pour servir dans l’armée de l’air française, l’Aéronautique militaire de la Première Guerre mondiale, avant que les États-Unis ne prennent part au conflit.

Suite française - storm in june

par Guénola Pellen · trad: Alexander Uff

Avant de mourir à Auschwitz en 1942, la romancière Irène Némirovsky avait confié le manuscrit inachevé de Suite française à ses filles. Publié chez Denöel, le roman obtint le prix Renaudot posthume en 2004. L’adaptation en bande dessinée par Emmanuel Moynot vient d'être traduite et publiée en anglais par Arsenal Pulp.