Baxter Dury

Ecouter Carpenter

John Carpenter s’est fait plaisir en sortant son premier album sur le label Sacred Bones. Lost Themes fera mouiller la culotte à tous les fans de la première heure puisque l’ambiance creepy de sa filmographie résonne tout le long des 9 titres. Presque déjà collector.

Baxter Dury - Dandy Cool

par Arnaud Rollet · visuels: Margaux Ract

Je me souviens bien de ma première rencontre musicale avec l’univers de Baxter Dury. C’était en 2011, à l’occasion de la sortie de son album Happy Soup. Au départ, j’étais circonspect : « encore un “fils de” arrivé là par copinage ou complaisance mais pas par talent » grommelais-je, forcément irrité par tout ce que la France a réussi à pondre comme rejetons insipides et bancals depuis près de 30 ans (coucou HollySiz et Izia Higelin).

Lectures insomniaques

par Tara Lennart

Blanche comme une page, la nuit s’inscrit aux abonnés absents. Pas de marchand de sable à l’horizon ni de pilules magiques pour baver dans les bras de Morphée. Ne cherchez plus, lisez. Et dans votre lit, c’est encore mieux ! Vous aurez une bonne raison de ne pas dormir…

La maman et la putain

par Nicolas Magenham

Dans La Maman et la Putain, sorti en 1973, Jean Eustache parle de lui, de ma mère, de la société de son temps, avec la liberté la plus sublime qui soit.

Ghost culture - (dé)brouillard de Londres

par Arnaud Rollet · visuels: Nastasia Alberti

Erol Alkan a le nez creux quand il s’agit de sortir de jeunes talents sur son label Phantasy. Après avoir révélé au monde la pop alcoolisée de Connan Mockasin (dont le Caramel pue le sexe) puis la techno mutine de Daniel Avery, le célèbre Dj nous livre cette fois en pâture Ghost Culture, un petit gars de 24 ans d’une rousseur et d’un dandysme dont seuls les Anglais ont le secret.

Playlist : Paris

par Johanna Benaïnous, Elsa Parra

Quinze ans est le temps qu’il aura fallu pour que sorte There is a Storm, pour que les bonnes fées se penchent sur le berceau de ce bébé trop braillard. Tout était déjà là, de tout temps, il s’agissait simplement de dégrossir le bloc, pour en faire apparaître les harmonies. C’est désormais chose faite. Plus grand, plus beau, plus ample, océanique, There is a storm nous happe vers le ciel pour franchir la ligne d’ombre. L’intensité demeure la même, intacte : c’est elle qui a aboli le temps. Il ne reste plus qu’un lieu, où circulent musiciens et poésie. Paris est composé de Nicolas Ker, Arnaud Roulin, Maxime Delpierre et Mike Theis. Et c’est ce dernier qui nous livre ce mois-ci la playlist.

Alex Gross - Vanité ta mère

par Paul Owen Briaud

On pourrait croire à un bad trip mais vous êtes juste devant une peinture. Un imaginaire étrange, sinon inquiétant, teinté d’ironie et de références culturelles. Des compositions tantôt surchargées, tantôt minimalistes, construisent un monde aux couleurs vives qui ressemble au nôtre mais se rapproche d’un eden infernal, ou de ténèbres acidulés. Rencontre avec le fils spirituel de Bosch et LaChapelle.

Y’a quoi au ciné ?

par Pierig Leray

1 mois, 4 films, 4 avis. Le problème ? On ne les a pas vus. Critiques abusives et totalement infondées des meilleurs/pires films du mois.

Scarlett Diamond - La fatale

par Florin Saint-Merri

La belle Scarlett Diamond est effeuilleuse/performeuse. Nous l’avions vue récemment lors d’un show Chez Maxim’s, et le peu que l’on puisse dire, c’est qu’elle avait totalement hypnotisé les regards. Nous avons décidé de faire connaissance avec elle à la première personne.

Expo : Afrika

visuels: Alain Bizos

Invité en 1983 par Afrika Bambaataa pour la réalisation de son vidéo-clip, Alain Bizos a capturé dans le Bronx l’esprit Hip Hop et l’émergence d’une contreculture dont les illustres représentants (Rock Steady Crew, Keith Haring, Futura 2000…) sont encore aujourd’hui des légendes du mouvement. Cette série d’une vingtaine de photographies totalement inédites sera présentée par Mayday Mayday Mayday.

Cocktail : Jack Rose

par Roger de Lille · visuels: Jacob Khrist

Février, des fleuristes et de l’amour. Ce mois-ci, de la romance, de la passion, des femmes sublimes et de belles histoires.

Graphisme : David Rudnick

Né en Angleterre, éducation américaine, autodidacte, designer reconnu dans le monde de la musique et de l’art, David Rudnick fait l’université de Yale. Il fonde ensuite son propre magazine Volume et insiste pour en faire la direction artistique alors qu’il n’a même pas ouvert InDesign.

voir également

Roaditude L’auto dans la tête · automobile · mustang · james dean · john carpenter · sahara · josé dula
#12
2021-11
7,99 €