Goya

Alors que le Centre Pompidou s’apprête à lui consacrer une importante rétrospective en 2022, célébration d’une carrière féconde s’étalant sur plus de quatre décennies, Artpassions a souhaité s’entretenir avec cet artiste inclassable et généreux, dont les recherches picturales se confondent avec la quête spirituelle.

La rétrospective organisée au Musée national d’art moderne, Centre Pompidou, à Paris révèle les différentes facettes de l’œuvre puissante de Georgia O’Keeffe.

Balade non-figurative à travers les trésors de la collection Gandur au Musée d’art de Pully. Un regard personnel sur les multiples expressions et expérimentations abstraites de l’immédiat après- guerre jusqu’aux années quatre-vingts.

La Fondation de l’Hermitage dédie une belle exposition à Hans Emmenegger, peintre de la Suisse centrale dont les peintures sont restées longtemps confidentielles. Une redécouverte à ne pas manquer.

Orsay dévoile la Collection de Paul Signac

Qui ne connaît pas le quatrain de Baudelaire, dans le poème, « Les Phares », où le poète des Fleurs du Mal célèbre Rubens, Léonard de Vinci, Rembrandt, Michel-Ange, Watteau et, comme seul grand artiste vivant, Delacroix ? Et, parmi ces génies qui sauvent l’honneur d’une humanité souvent peu brillante, Baudelaire classe Francisco de Goya (1746-1828), Goya le « fantastique », dont il célèbre par ailleurs les caricatures. Après les expositions de Madrid, consacrées à l’œuvre graphique, et celle d’Agen, posant pour la première fois la question de l’atelier du peintre, celle de la Fondation Beyeler à Bâle donnera une vue d’ensemble de son œuvre.

Jamais tour n’aura fait autant parler d’elle. Et pourtant, on a le sentiment que la tour LUMA Arles a toujours fait partie du paysage arlésien.

Décorateur le plus en vue de l’entre-deux-guerres, il nous laisse l’héritage d’une fulgurante carrière vouée au silence. Une grande figure des arts décoratifs à la française, à découvrir à la Galerie Patrick Gutknecht, à Genève, qui présente actuellement plusieurs pièces exceptionnelles.

On célèbre cette année les sept cents ans de la mort de Dante. La Fondation Martin Bodmer célèbre l’un des piliers de sa collection par un ouvrage et une exposition qui feront date.

Dans l’écrin grandiose de la Fondation Opale, le public est invité à vivre une expérience d’une rare intensité : ressentir au plus profond de son corps et de son âme le souffle du yidaki, l’instrument sacré des Aborigènes de la Terre d’Arnhem. Tissant des passerelles entre musique, danse et arts visuels, l’exposition a des allures de chemin d’initiation.

Pour son vingtième anniversaire, le Parcours des mondes a, plus que jamais, souhaité décliner le Beau sous toutes ses formes et tous ses horizons. À l’heure où la planète semble basculer dans un chaos tant idéologique que climatique, rien ne semblait plus vivifiant que de célébrer ces arts que l’on qualifie désormais de « premiers ».

La vie et rien d'autre

Après une année sans festival pour cause de pandémie, Cannes a retrouvé les couleurs du cinéma. Considérée par la critique comme un excellent cru, l’édition 2021 mit en lumière plusieurs premiers films, dont un sublime portrait de femmes, incarné par l’une des actrices les plus talentueuses de sa génération : Anaïs Demoustier.