Exposition de ses photos, rétrospectives de ses films, le réalisateur helvéto-américain est à l'honneur au Centre culturel suisse. Un des événements parisiens de l'automne.
Les frères Quayn
Robert Franck
Georges Franju
1936-1996. La Cinémathèque française souffle ses 60 bougies à Paris,à LosAngeles,à Belfort. Occasion de (re)découvrir clas- siques et raretés conservés dans cette institution. Occasion aussi à Belfort d'un hommage à l'un des fondateurs de cette ciné- mathèque aux côtés d'Henri Langlois : Georges Franju. Il a été un des premiers du Groupe des trente.À l'époque, le court métrage était plus volontiers un documentaire, plus souvent un film de com- mande. Une contrainte qui s'est souvent révélée féconde.
Santiago Alvarez
L'urgence cinéma
L’école des Antipodes
Au moment où vont déferler sur les écrans français plu- sieurs premiers longs métrages de cette génération de jeunes cinéastes issus de l'école de cinéma de Sydney, I' AFTRS, comme Love Serenade de Shirley Barrett (Caméra d'Or à Cannes cette année), Fisfull of Flies de Monica Pellizzari, True Love and Chaos de Stavros Efthy- miou, et ceux de metteurs en scène plus confirmés comme La chambre tranquille de Rolf De Heer (pré- senté en section officielle cette année), Portrait de femme de Jane Campion, que se tournent le premier long de Samantha Lang (The Well, écrit par Laura Jones, la scé- nariste de Jane Campion) et Dark City le troisième opus très attendu d' Alex Proyas, le maître de The Crow, les Rencontres internationales Henri-Langlois exposeront du 2 au 8 décembre à Poitiers les turbulences visuelles de ces agités des mers australes à travers une quaran- taine de courts métrages souvent inédits que I' AFTRS a produit entre 1973 et 1996. Occasion rêvée pour partir à la rencontre de cette école et de ce cinéma. Et rendez-vous à Poitiers !
Sur la plage de Belfast de Henri-François Imbert
Les films
La jetée de Chris Marker
Rétrovision
Figures libres
J'ai passé une partie de l'été à visionner des vidéos reçues en présélection des 9e Instants vidéo de Manosque. C'est souvent l'occasion de faire le point et de repérer quelques tendances. Une autre de mes occupations estivales fut de dévorer des polars, Taîbo II, Amila, Hamm et, Burnett, Westlake, Bialot ... L'automne venue, voici que je me surprends à jouer sur un curieux damier d'images et de mots au jeu des échos répercutés.