Gérard Courant, grand Cinématoneur devant l'éternel, eut les honneurs d'un hom- mage lors du dernier festival de Pantin (9 au 18 juin), occasion de rappeler que les Cinématons ne représentent qu'une partie de son travail. Furent ainsi propo- sés plusieurs de ses films dont un tout récent et particulièrement réussi portrait de son complice de Pantin pris sur le vif l'Académie Morlock, Joseph Morder. Nous avons profité de cette occa- sion pour lui demander de saisir, pour BREF quelques instantanés de cette semaine pantinoise.
Barry Purves
Pantin pris sur le vif
De quelques courts vus sur la Croisette
Dans la moisson de films présentés lors du Festival de Cannes, difficile pour les courts métrages de se faire une place au soleil. Néanmoins, chaque année chacune des sec- tions en présente un certain nombre. Parmi celles-ci nous faisons un sort particulier à une heureuse initiative de la Quinzaine des réalisateurs: un programme qui mêlait diffé- rents traitements sur l'image, comme l'irrup- tion au sein du plus grand festival de cinéma d'un infime contrechamp, petite porte ouverte vers un autre cinéma. Il y eut aussi le Godard en ouverture, codicille - mélancolique comme il se doit - à ses Histoire(s) du cinéma.
Un inédit de Jacques Tati
Le 17 juin dernier lors de l'inaugura- tion à Porto-Vecchio de la Cinéma- thèque corse-Casa Di Lume-fut pré- senté un court métrage inédit de Jacques Tati, reportage resté à l'état de rushes de la finale de la coupe d'Europe en 1978. Une autre façon de savourer l'Euro 2000.
La prolifération organique des images chez Ciprì et Maresco
Len Lye
Len Lye, pionnier du cinéma sans caméra