Trous noirs

C’est confirmé ! Ce n’est ni l’éclat des galaxies massives ni même celui des quasars qui ont rendu l’Univers transparent dans sa jeunesse. Les petites galaxies ont joué le premier rôle...

Le premier engin à atteindre notre satellite naturel est la sonde russe Luna 2... qui s’y écrase en 1959. Depuis, l’humanité imprime peu à peu sa marque sur la Lune. Si cette influence est encore légère, elle ne cesse de gagner en importance. L’anthropologue Justin Holcomb et ses collègues souhaitent que celle-ci soit quantifiée et débattue.

Dans les Alpes-Maritimes, la société ACRI-ST a bâti Acristellar. Un observatoire qu’elle destine en partie au public. Sur inscription, vous pouvez même en prendre les commandes pour photographier le cosmos.

Il doit y avoir des trous noirs un peu partout dans la Galaxie. Et certains devraient être tout proches du Système solaire, à quelques dizaines d’années-lumière. Le problème est que la plupart sont “dormants”, c’est- à-dire dépourvus de matière à engloutir. Donc sans environnement émetteur de lumière propre à les trahir. Certains pourraient même se cacher au cœur d’étoiles telles que le Soleil. Ce dossier passe en revue ces astres fascinants et nos chances d’en observer un d’assez près.

Des étoiles comme la nôtre pourraient abriter de minuscules trous noirs sans que cela perturbe leurs premiers milliards d’années.

Trouver le trou noir le plus proche de nous est un véritable défi que relèvent petit à petit les astronomes. Des candidats ont été détectés, mais l’enquête de voisinage n’est pas encore terminée !

C’est désormais une évidence : dans quelques années, le plus grand télescope optique du monde sera européen. Et non américain, comme cela a longtemps été le cas. Ce revirement découle d’aléas, mais pas seulement. La stratégie différente de financement aux États-Unis et en Europe joue aussi un rôle important.

L’eau sur Terre est-elle directement issue du milieu interstellaire ou a-t-elle été modifiée au sein du disque protoplanétaire ? Elle pourrait être un mélange de ces deux origines, répond une nouvelle étude menée dans la nébuleuse d’Orion.

Le jour de la nuit américaine

Depuis plus de 45 ans, Gilles Munsch traque avec rigueur les “phénomènes aérospatiaux non identifiés”, ou PAN. Une passion née à la lecture de Ciel & espace, qui l’a mené à intégrer l’équipe du Geipan, chargée d’enquêter sur ces intrigantes manifestations lumineuses.

Le concours d’astrophotographie organisé par l’AFA, en partenariat avec Nikon, Vaonis et le ministère de la Culture, a trouvé ses gagnants.

Au XVIIIe siècle, l’un des scientifiques les plus zélés de son temps se rend au Cap pour réaliser le premier relevé du ciel austral. En poussant l’astronomie observationnelle dans ses retranchements, Lacaille contribue à déterminer la forme de la Terre et les distances célestes.

La période estivale est idéale pour observer notre étoile, haute dans le ciel et actuellement très active. Taches, protubérances, granules sont autant de spectacles changeants qui animent la surface de l’astre du jour.

À la Société astronomique de Bourgogne, on recherche les preuves de l’utilisation de l’astronomie dans la construction de bâtiments vieux de plusieurs millénaires. Une activité qui peut déboucher sur des découvertes vertigineuses.