L’été d’art au Québec

Nouveaux métissages stratégiques

par Guy Sioui Durand · visuels: Sonia Robertson, Claude Michaud

- Humer l'air des choses - Sept ans plus tard : la récidive du Chemin qui marche irriguant nos terres culturelles - Le fluide des réseaux : de nouveaux métissages stratégiques - Quand le feu s'éteint et que l'eau s'évapore

Joliette - Convergences variations à la verticale

par Sonia Pelletier

Encore au cœur des démarches collectives -je dis bien au « cœur », car il en faut pour créer un événement artistique en région pendant la période estivale — Variations verticales se veut une double initiative de la part des artistes membres de l'atelier de recherche et production en art actuel, Convergences à Joliette.

Joliette - Convertibles de porteurs d’eau à bâtisseur

par Suzanne Joly, Michel Perron · visuels: Manon Fafard

Les 23,24 et 25 juin dernier, le centre d'artistes en art contemporain Les Ateliers Convertibles organisait, à Joliette, une manoeuvre dans le contexte de la grande Fête Nationale Culturelle mise en œuvre par la Société Nationale des Québécois de Lanaudière.

La rue a changé

par Diane-Jocelyne Côté

Comment savoir si la pensée d'Héraclite est encore vivante ? Simple. J'ai posé la question à six professeurs de philosophie. En arrivant à brûle-pourpoint dans leur bureau, en ne leur laissant le temps de consulter aucun texte, je leur ai demandé : "Parle-moi d'Héraclite".

Pour un style Héraclitéen

par Michel R. Guay

Il n'est pas possible de toucher deux fois une substance mortelle dans le même état. Mais à cause de la vigueur et de la vitesse du changement, elle se disperse et se rassemble de nouveau (ou plutôt ce n'est pas à nouveau ni ensuite, mais en même temps qu'elle se constitue et disparaît), et elle s'approche et s'éloigne.

En sens interdit

par Denis Belley

Du contrepet à la contre-performance, de la fausse manoeuvre à la désinstallation ; du paroditorial à l'essai « politically abject » ; de l'absurde en vrac au portrait décharge, des éclats de vers aux paphorismes, En sens interdit est une maladie chronique vouée au dynamitage du fond et de la forme qui n'épargne ni la chèvre, ni le chou.

Fractures, déchirures, et disparités contemporaines

par Adrien Sina

La ville à l'épreuve de la pensée d'Héraclite.

Cartographier la cité invisible

par Daniel Libeskind

Berlin : sur les traces de l'à venir. Berlin pourrait bien devenir au XXIe siècle une capitale spirituelle exemplaire au même titre qu'elle fut pendant un temps le symbole apocalyptique de la fin du XXe.

Reconstituer du paysage habité

par Lucien Kroll

Pessac : la sédimentation des ordinaires - Reconstruction et réhabilitation du quartier des Ailes Françaises

Faire coexister les paradoxes

par Makoto Sei Watanabe

Tokyo est chaotique. Cet énoncé évoque principalement deux images de Tokyo. La première est négative : c'est la confusion, une ville en désordre. Cette interprétation de la métropole est convaincante.

Anniversaire de l’art

par Yvan Pageau · visuels: Hervé Hugot

A propos des célébrations 94 et d'une perspective globale de dissémination de l'idée originale de Filliou.

Son prêt-à-porter

par Eric Boulé · visuels: François Bergeron

Sur une démonstration - performance de Benoît Maubré.

Catalans Espagnols Valenciens?

par Patrice Loubier · visuels: François Bergeron

Cinq jeunes artistes espagnols venaient à Québec en avril dernier pour présenter au Lieu leur travail en performance. Lucia Peiro, Nelo Vilar, Raul Galvez , Rafael Santibanez et José Tarrago ont étudié à l'école des Beaux-Arts de Valence avec Bartolomé Ferrando, professeur et performeur.

Urbanalités

par Martin Nadeau · visuels: Jocelyn Saint-Pierre, François Bergeron

Urbanalités est le titre d'une installation réalisée par Denis Belley et Thérèse Casavant au printemps 1994. Une palissade de bois érigée au milieu de la salle servait de support à l'exposition d'une cinquantaine de collages présentés sous forme d'affiches publicitaires.

Palimpseste

par Nathalie Perreault · visuels: François Bergeron

Brian Connolly, Brian Kennedy, Alastair MacLennan ont donc travaillé du vendredi 1er avril au mardi 5, en prévision du vernissage (Tony Sheehan en provenance des États-Unis, arrive le mercredi), après quoi ils vont retravailler leur environnement.