Les contes populaires iraniens

La culture populaire en Iran : ses formes, son histoire, ses croyances.

par Alice Bombardier, Arefeh Hedjazi

M. Vakiliân a pris la succession des travaux de Seyyed Abolqâssem Enjavi Shirâzi sur la culture populaire et nous transmet ici sa passion de collecteur d’histoires.

Variation, stabilité et constitution du sens dans les récits narratifs d’une conteuse persane

par Ulrich Marzolph

Ulrich Marzolph, étudiant le persan à Mashhad en 1977-78, a quitté l’Iran avant la Révolution. Déterminé à poursuivre ses études sur l’Iran, il a entrepris en Allemagne un doctorat sur le folklore narratif iranien en s’appuyant sur la totalité des sources connues, y compris les sources non publiées.

Sobhi, conteur d’histoires à la Radio d’Iran

par Djamileh Zia

Fazlollâh Sobhi Mohtadi a raconté pendant une vingtaine d’années, de 1940 à 1960, une histoire à la Radio d’Iran chaque vendredi après-midi. Son émission était très écoutée. Sobhi sut utiliser à bon escient la popularité de son émission pour rassembler et compiler les histoires populaires iraniennes, qu’il publia entre 1944 et 1953.

Les personnages des contes iraniens

par Pegah Khadish

Dans la structure des œuvres narratives, notamment dans les contes et les fables de la littérature orale, les personnages comptent parmi les éléments fondamentaux du récit.

Le voyage des contes

par Atefeh Ghafouri

Etudes croisées de "Blanche Neige"-"Anâr Khâtoun" et du "Chat Botté"-"Le Renard et le Meunier"

Les berceuses des mères kurdes

par Hâshem Salimi

Les berceuses sont les mélodies de l’inconscience endormie des mères à travers le monde et dans toutes les cultures. Ces chansons folkloriques reflètent les croyances, les aspirations et le mode de vie de chaque époque.

“Salim le Bijoutier et Les Mille et Une Nuits”

par Mohammad Jafari Qanavati

€‘Salim le bijoutier’ est une histoire traditionnelle iranienne, qui était encore très populaire il y a peu. L’existence de nombreux manuscrits et lithographies de cette histoire confirment son importance.

L’empreinte de la culture populaire dans le Masnavi de Djalâl al-Din Roumi

par Mehrân Afshâri

Mowlânâ Djalâl al-Din Roumi (1207-1273) composa son Masnavi pour enseigner les principes de la sagesse à ses disciples et adeptes dont la plupart était issue des couches inférieures de la société.

La Javânmardî : cœur du shî’isme iranien

par Francisco José Luis

Les bras étendus comme si elle s’apprêtait à tirer une flèche, à frapper un ennemi de son sabre en se protégeant d’un bouclier ou à lever ses bras en exultant de bonheur, cette calligraphie anthropomorphe est constituée de trois lettres de l’alphabet arabe, ’ayn, sîn et mîm. Ces trois lettres ont été l’objet d’importantes réflexions dans le shî’isme.

Les cartes de vœux fabriquées à Neyshâbour

par Ali Bouzari

Aux XVIIIe et XIXe siècles, à l’époque des Qâdjârs, apparurent de nombreuses formes d’arts et d’artisanats populaires.

D’Ispahan à Saint-Malo

par Mireille Ferreira

Alain Bailhache, peintre de la mer et illustrateur de livres pour enfants