En Arche !

Jouir et punir

par Emmanuel Roux · visuels: Sarah-Louise Barbett

Le paradoxe de la société libérale par Jean-Claude Michéa

Reprendre le fil de sa vie

par Salomé Blondeau

Avec l’association Aux Captifs la libération, Marie-Antoinette aide des femmes, notamment nigérianes, à sortir de la prostitution par l’apprentissage de la couture. Une belle expérience de réinsertion qui se tient chez nos amis Altercathos du Dorothy, à Paris !

La victoire de Narcisse sur Aristote

par Max-Erwann Gastineau · visuels: Victor Carpentier

Comment le désir a remplacé la vertu dans le débat public

La révolte spartakiste

par Kévin Boucaud-Victoire

Socialisme ou barbarie

De Beauvoir à #MeToo

par Claude Habib · visuels: Marie-Anne Bezon

Le féminisme comme conquête de l'intime

Une leçon d’humilité

par Mahaut Herrmann · visuels: Marie-Anne Bezon

La vie commune selon les principes de l’écologie intégrale s’accommode-t-elle d’institutions ou de collectifs politiques et religieux puissants ? Peut-on renoncer à la puissance technologique sans renoncer à la tentation de la puissance politique ? Cette interrogation apparaît dès lors qu’on s’interroge sur les conditions d’une vie commune intégrant l’idée de limite. La nécessité d’une réaction urgente à ces désastres n’est pas un thème spécifiquement de gauche : elle est de plus en plus prégnante dans des discours politiques valorisant par ailleurs la puissance politique ou religieuse. Qu’un projet politique ambitieux prône le respect des limites comme un but en exaltant la puissance comme une fin, est-ce alors une fatalité ? Comment concilier l’écologie intégrale et la recherche d’un projet de vie commune qui soit aussi un récit collectif, c’est-à-dire convivial ?

Olivier Rey

par Olivier Rey

Ce que nous devons à Illich

Alain Caillé

par Sylvain Monnier · visuels: Victor Carpentier

« Quel front commun, très large, pouvons-nous opposer au capitalisme rentier et à l’explosion des inégalités ? »

Fibre de chanvre et frugalité technologique

par Sylvain Monnier

Corentin de Chatelperron a été un grand consommateur de chanvre et de résine, mais il ne les aime que mélangées l’une à l’autre sur la coque de son bateau. Depuis, il est passé à autre chose, plus fort mais plus accessible : les low-tech. Sur son île, son bateau ou sa plate-forme au large de l’Indonésie, il en consomme sans modération et fait tout pour les faire connaître.

Louise Nicolle

par Amaury Guillem

Aujourd’hui, Louise Nicolle, c’est le nom d’une petite rue de Saint-Amand-les-Eaux, que l’on connaît surtout pour la longévité – 22 ans ! – de son maire communiste. Oubliée, presque inconnue, la jeune femme fut pourtant une pionnière dans la défense des ouvrières en situation de précarité. Un engagement vécu avec la radicalité d’une révolutionnaire dont le manifeste s’intitulait l’Évangile.

Corine Pelluchon & François-Xavier Bellamy

par Gaultier Bès · visuels: Charlotte Guitard

Qui suis-je pour faire couler le sang des bêtes ?

Ararat

par Edouard Cortès

Au retour d’un voyage où j’avais traversé à pied la chaîne du Caucase, ma grand-mère me fit une confidence : « Je détiens un morceau de l’arche de Noé ! » Un bout de bois trouvé sur le mont Ararat, vieux de sept millénaires... Il fallait que je comprenne le fin mot de l'histoire. Mais mon enquête m'a mené bien plus loin que je ne pensais, plus loin que l'Arménie, jusqu'à une ferme, en Périgord...

Pourquoi je continue à chasser

par Emmanuel Jocteur-Monrozier · visuels: Victor Carpentier

« Tuer pour le plaisir : rien ne peut justifier la chasse ! » C’est vite dit pour Emmanuel, chasseur abonné à La Hulotte, « le journal le plus lu dans les terriers ». Un chasseur écolo, impossible contradiction ? Pas si sûr… Entre défense acharnée et diabolisation, il existe peut-être une troisième voie, qui, sans nier les problèmes qu’elle pose, lui reconnaît quelques vertus.

Jean-Mathias Sargologos

par Jean-Mathias Sargologos

Rosa Bonheur, peintre des bêtes

Jocelyne Porcher

par Gaultier Bès · visuels: Charlotte Guitard

Jocelyne Porcher, c’est d’abord un parcours atypique : jeune Parisienne issue d’un milieu ouvrier, elle est devenue éleveuse de brebis, avant d’intégrer l’INRA comme sociologue. Aujourd’hui, elle s’oppose avec autant de fougue à l’exploitation industrielle des bêtes qu’aux discours de la « libération » animale.