Natalie Dessay

Natalie Dessay

par Michel Parouty

La soprano n’a certes plus aucun projet d’opéra sur son agenda d’ici la fin de cette saison. Mais cela ne signifie nullement qu’elle s’arrête de chanter. En compagnie de Michel Legrand, Philippe Cassard, Agnès Jaoui ou Laurent Naouri, elle va enchaîner récitals et concerts jusqu’au mois de juin, avec différentes étapes en France : Théâtre des Bouffes du Nord le 19 mai, Théâtre Impérial de Compiègne le 22 mai, Salle Gaveau le 27 mai... De plus, elle ne s’interdit pas, si l’envie lui en prend, de revenir un jour sur une scène lyrique. Bref, les adieux, ce n’est pas pour demain !

Tamar Iveri

par Thierry Guyenne

Jusqu’au 23 décembre, la soprano géorgienne est l’une des têtes d’affiche de la reprise de La clemenza di Tito au Palais Garnier. On la retrouvera au Capitole de Toulouse, à partir du 14 mars, en Nedda dans Pagliacci.

Jean-Christophe Keck

par Michel Parouty

Grâce à Opera Rara, l’un des meilleurs spécialistes d’Offenbach au monde a enfin la possibilité de faire revivre l’un des ouvrages les plus attachants du musicien.

Catherine Kontz

par Marguerite Haladjian

Théâtre, la compositrice luxembourgeoise met elle-même en scène son nouvel opéra, Neige, dont elle a également rédigé le livret, d’après le roman éponyme de l’écrivain français Maxence Fermine.

Astana

par Richard Martet

2013 restera une année marquante dans l’histoire de l’art lyrique au Kazakhstan. Par la volonté du président de cette immense république d’Asie centrale, un nouvel Opéra est sorti de terre au coeur de la capitale, entre des édifices flambant neuf à l’architecture futuriste, avec lesquels il tranche par le néo-classicisme de ses lignes. Astana possède désormais un outil capable de rivaliser avec les plus prestigieuses scènes lyriques européennes. Son ambition est de coopérer avec elles pour établir, à ce carrefour entre deux continents, un foyer de création théâtrale et musicale doté d’un rayonnement international.

Un opéra pour Diana Damrau

par Éric Pousaz

La soprano allemande, au zénith de sa carrière, pouvait-elle rêver plus belle consécration qu’un nouvel opéra écrit expressément à son intention et couronné, en plus, d’une spectaculaire scène de folie, dans la grande tradition des divas du XIXe siècle ?

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