L’intime

Voyage d’hiver avec mon amour en Ariège…

Ces “laissés pour compte“ du corps du photographe, fixés dans l’émulsion savonneuse, convoquent spontanément un double registre imaginaire.

Après la mort de mes parents, il y eut aussi la vente de leur appartement et la liquidation de tous les objets et les meubles.

Ma vie professionnelle en chirurgical, abandonnée depuis des années par passion pour la photographie, a ouvert mon regard sur le corps. Photographier le corps et sa matière à travers son identité sexuelle et dans le mouvement en cadrages serrés.

La Lozère en été.

Cette série « Intimité » dévoile, de la façon la plus simple, des physionomies, des attitudes, jusqu’à produire des figures singulières.

Les photographies d’Arnaud Pyvka, notamment dans la série présentée ici, développent un monde second, par dessus le nôtre, le doublant ou le triplant par une appropriation méthodique.