David Foenkinos et Serge Joncour

Portraits croisés : David Foenkinos et Serge Joncour

Dans le train, Serge Joncour est devant moi. Ai-je déjà pris le train une seule fois sans lui ? Comment pourrais-je alors savoir à quelle heure aller au wagon-bar ? Le train, c’est son domaine. Pour tout le reste, je prends en charge. C’est un homme qui composte. Pour la huitième fois, il réécoute le match d’hier dans son oreillette. Comme pour un livre, il souligne les meilleurs passages, et me démontre la poésie de l’Equipe. C’est beau de recomposer à l’infini. Quelque part, c’est la coupe de son monde.

David Foenkinos vu par Serge Joncour

par Serge Joncour

La première performance de David Foenkinos, c’est d’avoir enfin réussi à faire en sorte, que plus jamais, quand on parle de lui ou quand on le reçoit, le journaliste ou l’animateur n’écorche son nom.

Un texte inédit : J’attrape mon cœur

par David Foenkinos

C’était peu après les attentats du 11 septembre. Et c’était surtout après une nuit bien alcoolisée. (...)

Serge Joncour vu par Jacques Griffault de la Librairie Le Scribe, de Montauban

par Jacques Griffault

Né un jour de grève générale, ce qu’on lui a longtemps reproché, Serge Joncour a essayé de faire ce qui lui chantait, tantôt cela lui aura été profitable, tantôt pas.

David Foenkinos vu par Béatrice Tamaroff, de la Librairie Géronimo, Metz

par Béatrice Tamaroff

Il y a une évidence à lire le dernier roman de David Foenkinos, car la « délicatesse » promise du titre imprime sa tonalité à tout le récit : Nathalie rencontre François, le perd, fait tourner la tête de Charles qui ne lui plaît pas, embrasse Markus, qui cherche à la conquérir avec une opiniâtreté toute suédoise...

Abécédaire de A à VSD

par Nadine Doyen

Pour en savoir plus sur David Foenkinos (DF) et Serge Joncour(SJ)

Dialogue à bâtons rompus entre Nadine Doyen et David Foenkinos

Les miscellanées de Serge Joncour

par Serge Joncour

Questions communes posées à David et à Serge

En guise de conclusion

par Nadine Doyen

David Foenkinos et Serge Joncour ont déjà un large lectorat ainsi que des libraires et critiques très fidèles, il me fut donc facile de fédérer certains d’entre eux pour apporter leur voix.

L’itinéraire de François Cheng

par Madeleine Bertaud

1948, Cheng Chi-hsien, qui a lu en traduction beaucoup de nos grands écrivains mais ignore notre langue, arrive à Paris avec ses parents ; il a 19 ans.

En souvenir de Nic Klecker

par Paul Mathieu

Dans la dernière page d’un automne qui a déjà abandonné son nom, Nic Klecker vient de s’en aller avec la grande discrétion dont il ne s’était jamais départi.