La musique Gnaoua

L’accès à la musique, considérée comme un loisir dominant dans la vie des français, a été brutalement perturbé par la crise du Covid-19. Deux enquêtes menées récemment mettent en évidence les évolutions de la consommation de musique depuis le début de la pandémie.

Un opéra participatif au Couvent des Jacobins

Chantée par des musiciens descendants d’esclaves subsahariens, la musique Gnaoua est sortie de l’oubli grâce au Festival d’Essaouira et Musiques du monde. Inscrite depuis 2019 au patrimoine mondial de l’Unesco, elle a séduit de grands artistes de jazz et de blues. Le défi de ses musiciens : transmettre le témoin à la nouvelle génération.

Dès ses débuts, le cinéma a été indissociable de la musique. Accompagnant l’image, d’abord, à l’époque du cinéma muet, puis enregistrée et intégrée à la bande son lorsque cela a été techniquement possible.

Cinéma et musique sont presque indissociables. Il y a bien sûr les musiques de film, composées pour l’occasion, mais aussi toutes les musiques préexistantes (musique classique, variété...) et celles qui sont éventuellement jouées ou écoutées par les protagonistes. Un des spécialistes de l’étude de la musique au cinéma est Michel Chion. Compositeur de musique concrète, enseignant de cinéma et critique cinématographique, il est l’auteur d’un ouvrage de référence : « La musique au cinéma ».

Non contente d’être presque omniprésente au cinéma, la musique l’inspire très souvent, à tel point qu’il est impossible de faire, en un seul article, le tour de tous les films qui lui accordent une large place, ou même, en font le sujet principal. Petite sélection arbitraire et inévitablement insuffisante de quelques œuvres qui ont marqué l’histoire du cinéma.

Instrument presque oublié au tournant des années 1990, le duduk est aujourd’hui sur la Liste Unesco du patrimoine culturel immatériel de l’Humanité. On le retrouve dans les trames sonores de Gladiator ou Game of Thrones, sur des albums de Sting ou Peter Gabriel. Retour sur la renaissance du duduk arménien.