Cinéma

Du cinéma et de l’art contemporain

par Catherine Bizern

Description d'une dynamique

Du cinéma dans l’art

par Mickaël Pierson

Vers un retour au réel

L’exposition comme milieu

par Mathilde Roman

Corps, images, espaces

Revenir au cinéma

par Muriel Andrin

Depuis quelques décennies, le cinéma s’est peu à peu métamorphosé dans les possibilités, voire les méandres, d’un ‘cinéma étendu’ ; fragmenté, transféré, devenu objet d’une multitude de citations, il se redessinait sous une autre identité. Pourtant, certains artistes affichent aujourd’hui leur envie de cinéma, réactivant sa définition ontologique au travers de productions industrielles, d’une esthétique filmique et de l’élaboration de nouveaux récits.

L’archive

par Raya Baudinet-Lindberg

Une histoire des regards

Du cinéma en quête d’installation

par Septembre Tiberghien

Résolument cinématographique, la démarche de KHRISTINE GILLARD (°1972 ; vit et travaille à Bruxelles) est néanmoins portée par des questionnements d’ordre esthétique et politique qui trouvent une résonance au sein de l’espace d’exposition, comme en témoignent ses récentes tentatives de déploiement de la matière filmique sous forme d’installation.

Corps habités

par Muriel Andrin

Sélectionnés dans la programmation de plus en plus riche et signifiante du BAFF (Brussels Art Film Festival) en novembre 2017, Fraktur de GILLES RIBERO et Mademoiselle Zallinger de PRUNELLE RULENS (Prix du jury de la compétition) jouent de nouvelles partitions cinématographiques, expérimentales et documentaires, dans l’idée d’une constante redéfinition du film sur l’art.

Les arts plastiques et le septième art

par Véronique Bergen

Le dossier de l’avant-dernier numéro de La Part de l’OEil pose décisivement les enjeux des rapports croisés entre le septième art et le registre des arts plastiques. Un second dossier analyse la question de Mikhaïl Bakhtine et les arts. Nous évoquerons ici les textes regroupés dans le premier dossier. Portant sur l’identité (mouvante) du cinéma, l’évolution de son concept, ses métamorphoses, ses délimitations, les contributions se focalisent sur ses nouveaux dispositifs dans l’art contemporain, son nouage à la peinture, à l’architecture, dans une attention aux effets du cinéma sur les arts plastiques et réciproquement.

Omar en mai

par Emmanuelle Chérel

L’artiste VINCENT MEESSEN présente au Centre Georges-Pompidou un nouveau volet de sa relecture de l’histoire de l’Internationale Situationniste, de son influence sur les Mai 68 de l’hémisphère Sud et de ses liens avec les luttes de libération. Rencontre.

Le procès de la f(r)iction

par Sinziana Ravini

J’ai toujours eu la conviction qu’il n’y a que deux sortes d’artistes dans le monde. Ceux pour qui le réel, c’est l’impossible, une chose immuable et aliénante qui nous piège et nous rattrape, tel le désert de Matrix, qui se présente comme la métaphore du capitalisme, la réalité ultime derrière toutes les apparences, et ceux qui conçoivent le réel comme une pâte à modeler.

Le portrait et ses lignes d’erre

par Yogan Muller

D’emblée, il y a un titre. Portrait of a Lanscape. Un titre qui dit quel écart PIERRE-PHILIPPE HOFMANN entend décrire par une grande installation à la Ferme-Asile de Sion2. Car portrait et paysage sont bien deux manières de mettre le monde en images. Candidement on pourrait alors se demander, peut-on faire le portrait d’un paysage ? Pour le dire de manière plus décisive, comment réconcilier une démarche d’abord orientée vers l’humain et une autre qui s’intéresse au fond à la Nature ?

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